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Le soleil entre dans sa chambre communément blanche, comme une touche d'été.
Un minou noir skate, il dort sur son lit.
Une libellule frappe à la fenêtre, comme pour échapper à son séducteur acharné.
Le minou mangerais bien la libellule, s'il savait.
Il se lève, le sourire aux lèvres.
Le minou rêve, il bouge ses moustaches.
La vieille mélodie mélancolique continue.
Il est heureux, sa vie à changée.
Ses yeux pétillent.
Ses joues sont roses.
Il s'approche de la fenêtre.
Son sourire s'évanoui.
Ses mains s'approchent de son visage.
Une larme coule.
Le soleil s'est enfoui.
Bolinha.
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Le rêve est éphémère, il ne dure pas.
La réalité est montagne
Le rêve est agréable, il ne gène pas.
La réalité est haute
Le rêve est doux, il n'agresse pas.
La réalité est rugueuse
Le rêve est faux, il n'existe pas.
La réalité est brusque
Le rêve est séducteur, il se permet tout.
La réalité est vie
Le rêve reste rêve
Bolinha.
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Imagine une lune
Imagine un nuage
Imagine une hauteur verte
Imagine un moustique
Imagine une mélodie
Imagine une herbe courbée
couchée
Par ton corps
Tes yeux
regarde ton imagination
Bolinha.
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Le soleil se couche, lentement
Lentement, une fillette aux cheveux d'or
Dors, endors toi, ferme les yeux sur ta vie
Vie, si heureuse, continue à éparpiller
Eparpiller, tes pétales bleutées par le vent
Vent, qui porte si bien le charme de la dame
Dame, jeune fille aux cheveux d'or
Dort, s'endort, sur la vallée des morts.Bolinha.
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J'ai fait un rêve. C'était plus comme avant, quelque chose avait changé. Au début, je me demandais pourquoi, et comment ça c'était passé. Pour moi, ça été inattendu. Mon cœur était d'un coup plus gros. J'avais une impression bizarre, et je ne comprenais pas. Ca été très agréable. Jamais je n'ai vécu un moment aussi doux. Ce fut chaud, humide, merveilleux ! Tu faisais parti de ce rêve. Tu m'as serrée tellement fort que j'ai cru que tu allais m'étouffer. Mais j'ai voulu que tu continue. Ensuite, tu as déposer tes lèvres sur les miennes, et là, je n'ai plus compris, mon cœur battait si vite que j'ai cru que j'allais mourir. Ton souffle dans mon coup ensuite m'a submergée dans un autre monde. J'ai rêvé. Oui, j'ai rêvé. J'ai rêvé que tu étais amoureux de moi.
Mais le rêve s'est vite transformé. Le rêve, si agréable auparavant, est devenu cauchemar. Mon cœur battait toujours pour toi, et mon ventre faisais mal, comme quand on est amoureux. Mais, tes battements de cœur n'étaient pas pour moi. Tes sourires étaient trompeurs, ils exprimaient de l'amour. De l'amour qui étaient de l'amitié. J'ai versé des larmes. Mon oreiller était souvent humide. Tu m'as bien berné. Pendant deux ans, j'en ai bavé. Mais, tout ça est fini. J'ai cassé le verrou de ma prison et m'en suis échappé. Au revoir, mon amour.
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